Espèces qui incarnent les zones humides

L’Héron cendré

Avec ses 1,75 mètres d’envergure, il est difficile de passer à côté de la présence du Héron cendré. Deux longues pattes en guise d’échasses et un gros bec en forme de poignard, le Héron cendré est un pêcheur bien outillé.
Héron cendré Photo : Maxime Amy

Le Triton ponctué

Comme pour tous les amphibiens, la présence de mares est indispensable au Triton ponctué. De février à avril, les adultes recherchent un point d’eau pour se reproduire. Les tritons déposent délicatement leurs œufs, un à un, sur la végétation. Une fois éclos, les oeufs laissent place à des larves qui resteront dans l’eau jusqu’à leur métamorphose et la perte de leurs branchies.
Triton ponctué Photo : Kevin Blanchon

Le Brochet

Poisson prédateur à grande bouche, pour mieux manger ses proies, le Brochet vit dans les étangs, les lacs et les eaux lentes des rivières. Pour se reproduire il a besoin de milieux aquatiques peu profonds, calmes et riches en végétation.

La truite fario

Poisson des eaux vives, on la retrouve dans les rivières fraîches et rapides de l’Avesnois telles que la Thure et la Solre. Elle est reconnaissable aux nombreux points noirs et rouges qui ponctuent ses écailles.

La libellule déprimée

Les libellules, grands insectes colorés au long corps et aux larges ailes transparentes sortent de l’eau ! En effet, leurs larves se développent dans l’eau des mares, des étangs et des rivières, avant d’en sortir pour se métamorphoser.
Libellule déprimée Photo : Jeremy Trannoy

Les joncs épars

Les joncs sont des plantes caractéristique des sols humides facilement reconnaissables à leurs tiges sans feuilles. Le Jonc épars est l’un des joncs les plus communs, il forme de très grosses touffes.
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