Quelles sont vos espèces préférées ? | Parc naturel régional de l'Avesnois

Si la préservation des milieux naturels et de la faune et la flore qui les peuplent vous semble importante, venez contribuer à notre sondage sur les espèces emblématiques de l’Avesnois. Vous allez découvrir plusieurs sélections pour lesquelles il faudra choisir vos 2 espèces préférées. Les résultats du sondage permettront de définir les espèces emblématiques du Parc naturel régional de l’Avesnois. Ensuite, des actions seront proposées aux habitants pour apprendre à mieux connaitre ces espèces et s’investir dans leur protection.

Quand les habitants établissent leur liste d’espèces emblématiques de l’Avesnois

Puisque l’environnement est le patrimoine commun des êtres vivants, puisque que l’on respecte davantage ce que l’on connaît, ce que l’on comprend, puisque les habitants n’ont que peu souvent conscience de la richesse écologique des milieux qui constituent leur décor quotidien, l’appropriation de la biodiversité par les citoyens constitue l’un des enjeux prioritaires de la Charte du Parc naturel régional de l’Avesnois. Afin d’accompagner les habitants dans cette appropriation, le Parc naturel régional de l’Avesnois souhaite tout d’abord connaître les espèces « qui parlent » le plus aux habitants, celles qu’ils connaissent, celles qu’ils admirent. Cette liste d’espèces constituera un socle commun, une référence pour les actions de sensibilisation futures. Pour identifier ces espèces emblématiques, nous vous proposons un sondage afin que chacun puisse choisir les espèces qu’il juge emblématique en raison de leur beauté, de leur attachement à un milieu typique de l’Avesnois ou de leur familiarité. Participer au sondage c’est exprimer vos sensibilités, faire connaître la faune et la flore à laquelle vous êtes attachés, celle qui attire à votre curiosité, celle pour laquelle vous êtes prêts à vous investir pour sa préservation.

Une fois cette liste établie, l’action se poursuit !

Le Parc naturel régional de l’Avesnois continuera son accompagnement dans l’appropriation de la faune et de la flore locales. Seront programmées des actions de sensibilisation aux enjeux écologiques (exemple : l’intérêt de la préservation des mares pour la reproduction des grenouilles, des crapauds et des tritons), d’identification des espèces (exemple : comment reconnaître les oiseaux par le chant ?) et de restauration des milieux de vie des espèces (exemple : plantation de haies, arrachage d’espèces invasives).

Pour vous aider dans vos choix, retrouvez sous chaque questionnaire un lien vers un descriptif et un visuel des différentes espèces citées.

Crédit photos : Maxime Amy, William Béduchaux, Kévin BLanchon, Jéremy Trannoy, Marc Grzemski, Bernard Grzemski, Jean-Pierre Pépin, Gérard Dubois, Matthieu Franquin, Sébastien Mézière, Aurélien Thurette.

Qui êtes-vous?

Vos coordonnées, celles-ci nous permettront de vous tenir informés des résultats et des suites données à ce sondage

Pour vous aider dans vos choix : une image, un descriptif :

: Un petit oiseau au ventre rouge flamboyant et à la tête noire.

: Corps bleu vif sur le dessus et ventre rouge : le martin-pêcheur est reconnaissable entre tous ! On le voit souvent filer au ras de l’eau, tel une flèche bleue !

: Ses multiples couleurs vives justifient son appellation de Chardonneret élégant !

: « J’ai vu un héron blanc! », il s’agit en fait de sa cousine la Grande Aigrette. Autrefois absente de l’Avesnois, elle y est maintenant présente une grande partie de l’année. À l’approche du crépuscule, les grandes aigrettes se rassemblent avant de se diriger vers des dortoirs collectifs.

: Plutôt banal, le vanneau huppé est, en y regardant de plus près, un superbe oiseau : son plumage possède de nombreux reflets de couleurs et sa tête est ornée de fines plumes.

: Le pic vert se reconnaît facilement à son plumage aux multiples teintes verdâtres, sa barre rouge vif sur le dessus de son crâne et son rire moqueur !

Pour vous aider dans vos choix : une image, un descriptif :

: La colchique fleurit dès la fin de l’été. Ses fleurs mauves-violettes fines, délicates et fragiles sont, comme le reste de la plante, mortelles. Méfiance !

: Comme de nombreuses orchidées, l’ophrys abeille à une superbe inflorescence qui imite un insecte.

: Fines et délicates, les fleurs de violettes sont connues pour le parfum subtil qu’elles dégagent dès les premiers rayons de soleil au printemps.

: Ancêtre sauvage de nos rosiers actuels, les fleurs de l’églantiers sont rose pâle. À la fois abondantes et fragiles, elles embellissent les haies.

: Connues de tous, les fleurs de muguet sont très belles ! Les petites clochettes d’un blanc éclatant exhalent un parfum puissant et délicat.

: Ces fleurs comportent une multitude de nuances de couleurs : claires ou foncées, les différentes variétés de mauves ont toutes de jolies fleurs striées.

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: La variabilité de ses motifs et le contraste de ses couleurs en font un animal superbe! La Salamandre tâchetée est en régression dans de nombreuses régions de France. Les écrasements routiers en seraient en grande partie responsables.

: Dans toute pièce d’eau peut être observée la Grenouille verte. On la différencie de sa cousine la Grenouille rousse par l’absence de tâche autour du tympan et la présence de sacs vocaux qu’elle gonfle pour chanter. De vert clair à bleu vert avec certaines parties jaunâtres et une touche dorée, la coloration de la grenouille verte est très nuancée.

: De petites pattes, un corps allongé prolongé par une queue, les tritons rappellent leurs lointains ancêtres les dinosaures en miniature. Contrairement à ce que laisse paraître son nom, le Triton alpestre n’est pas cantonné au domaine alpin. Et tant mieux pour nous! Sa coloration est magnifique.

: Le Lézard vivipare n’est pas un amphibien, mais un reptile! Il a notamment le corps couvert d’écailles alors que les amphibiens ont la peau lisse. Le Lézard vivipare est le lézard le plus commun de l’Avesnois, on peut l’observer dans les prairies ou sur les talus.

Pour vous aider dans vos choix : une image, un descriptif :

: Fin et élégant, le renard roux est un animal aux superbes couleurs fauves, qui allie ruse et beauté dans notre esprit.

: Fine et longiligne, le visage ourlé de petites oreilles rondes, la discrète et jolie hermine n’en demeure pas moins un redoutable prédateur !

: Sa jolie silhouette, sa posture reconnaissable entre toutes, sa curiosité, ses couleurs chatoyantes et sa petite tête sympathique font de l’écureuil l’animal sympathique par excellence !

: Le chevreuil, au corps gracile, nous étonne toujours par les bonds qu’il fait lorsqu’il s’enfuit à notre approche.

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: Les libellules sont des insectes fascinants : ils volent, possèdent des couleurs vives et des gros yeux…! Capables de faire du sur-place puis de filer à toute vitesse, leur capacité à se mouvoir est spectaculaire ! L’Anax empereur est une très grande libellule abondante en Avesnois.

: Le machaon est un papillon de belle taille, aux ailes finement ciselées et joliment colorées de jaune, de bleu et de rouge.

: L’argus bleu ou azuré commun est un petit papillon dont les fines ailes sont d’un bleu electrique intense et cernées d’un fin liseré blanc.

: Le bousier est connu pour son inlassable travail, qui consiste à pousser une boule formée d’excréments, qu’il met à l’abri en vue de la consommer. Leur solide carapace possède une multitude de reflets colorés, allant du bleu vert au bleu intense !

: Petite, ronde, rouge intense avec ses taches noires, la coccinelle à sept points bénéficie d’un capital sympathie immense auprès du public !

: Entièrement verte, la grande sauterelle possède d’immenses antennes, ainsi que deux longues jambes musclées qui lui permettent de faire des bonds gigantesques ! La Grande Sauterelle est une chanteuse inépuisable, vous pouvez l’entendre de jour comme de nuit

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: La chevêche d’Athéna est une petite chouette aux yeux d’or intimement liée au bocage. Arbres têtards et vieux fruitiers lui offrent des cavités propices à l’installation de son nid.

: Rapace le mieux représenté sur tout le territoire de l’Avesnois. Elle affectionne le bocage. Elle y est facilement observable lorsqu’elle vole dans le ciel de façon circulaire ou perchée sur un piquet de prairie à la recherche de proies.

: Arbre le plus commun du bocage de l’Avesnois. On le retrouve dans les haies sous forme arbustive (haie basse) et arborescente (haie haute). Il est également conduit en arbre têtard. L’arbre têtard est reconnaissable à sa « grosse tête » résultant d’un mode d’exploitation spécifique, qui consiste à couper tous les 7 à 10 ans l’ensemble des branches concentrées au sommet de l’arbre pour récolter du bois de chauffage. L’arbre têtard est un emblème du patrimoine naturel et paysager du Parc naturel régional de l’Avesnois.

: L’aubépine est un arbuste épineux fréquemment rencontré dans les haies bocagères de l’Avesnois. Au printemps, ne ratez pas sa floraison blanche ou rosée au parfum agréable.

: Il affectionne particulièrement le bocage qui lui sert de garde-manger avec de nombreuses proies (limaces, vers de terre, insectes…) et de refuge quand les arbres creux et les ourlets herbeux au pied des haies sont présents.

: Rien qu’à lire son nom, on comprend rapidement que ce criquet est un habitant plutôt familier des pâtures. L’été venu, les criquets apportent une touche musicale au bocage, leur chant est émis en frottant leurs fémurs sur le bord de leurs ailes.

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: Avec ses 1,75 mètres d’envergure, il est difficile de passer à côté de la présence du Héron cendré. Deux longues pattes en guise d’échasses et un gros bec en forme de poignard, le Héron cendré est un pêcheur bien outillé.

: Comme pour tous les amphibiens, la présence de mares est indispensable au Triton ponctué. De février à avril, les adultes recherchent un point d’eau pour se reproduire. Les tritons déposent délicatement leurs œufs, un à un, sur la végétation. Une fois éclos, les oeufs laissent place à des larves qui resteront dans l’eau jusqu’à leur métamorphose et la perte de leurs branchies.

: Les libellules, grands insectes colorés au long corps et aux larges ailes transparentes sortent de l’eau ! En effet, leurs larves se développent dans l’eau des mares, des étangs et des rivières, avant d’en sortir pour se métamorphoser.

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: L’Anémone des bois est l’une des premières fleurs forestières de l’année. Son développement précoce lui permet de profiter de la lumière du soleil avant que le feuillage des arbres n’obscurcissent les sous-bois. Lors de la floraison, l’Anémone des bois forme des tapis blancs du plus effet esthétique.

: Annonciateur du printemps, le Citron est l’un des premiers papillons à pointer le bout des ailes. Son nom vous met sur la piste de sa couleur, du moins celle de monsieur. Madame orne une robe vert pâle.

: Nommé « le seigneur de la forêt », le Cerf est présent uniquement en forêt de Mormal en région Nord-Pas-de-Calais. On dénombre une population de200 à 250 cerfs dans le massif. Le mâle pèse entre 180 et 250 kilos, tandis que la biche pèse entre 80 et 130 kilos. Herbivore, le Cerf se nourrit de plantes herbacées et de ligneux (arbres, écorces). Les mâles ont la caractéristique d’être solitaires Les biches vivent en groupe que l’on dénomme harde.

: Oiseau aux couleurs chatoyantes aisément reconnaissable à son tambourinement audible lors des promenades dans les forêts de l’Avesnois.

: Emblèmes des forêts françaises, deux espèces sont présentes dans les forêts de l’Avesnois : le chêne pédonculé et le chêne sessile. Ils sont facilement reconnaissables à leurs écorces profondément crevassées et à leurs feuilles lobées.

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: De retour d’un hiver passé au chaud en Afrique subsaharienne, les hirondelles sont de retour chez nous, en même temps que le printemps. L’Hirondelle de fenêtre, reconnaissable à son croupion blanc contrastant avec le noir du plumage du dessus , est l’hirondellequi installe son nid d’argile sous l’avancée des toîts et à l’angle des fenêtres.

: Le Vulcain est l’un des papillons les plus fréquents de nos jardins. Les bandes rouges de ce papillon expliquent sans doute qu’il porte le nom du dieu romain du feu et de la forge. L’ortie est sa plante hôte, donc si vous voulez admirer ce papillon laissez quelques pousses de cette plante au fond de votre jardin !

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: Moineau domestique – Photo : JP Pépin

: Le Merle noir – Photo : JP PépinLe Merle noir est l’une des cinq espèces d’oiseaux les plus présentes en France. Il fréquente divers milieux: forêts, bocages, parcs et jardins… Il est difficile de passer à côté de son chant puissant et mélodieux.

: Elle est également connue sous le nom d’Hirondelle de cheminée ou d’Hirondelle des granges. Elle se distingue par sa longue queue fourchue et sa gorge couleur rouge brique. Elle niche dans un nid fait de terre séchée et de salive pour coller les bouts de terre, accroché sous un toit, une poutre, aussi bien à l’extérieur qu’à l’intérieur, en ville ou à la campagne.

: Faucon Crécerelle – Photo : Maxime Amy

: « coucou » fait le coucou, il n’est pas nécessaire d’être un ornithologue expérimenté pour repérer cet oiseau. Vous ne le savez peut-être pas, mais le coucou ne s’ennuie pas avec l’élevage de sa progéniture. Il dépose ses œufs dans le nid d’un autre oiseau, à qui il laisse le soin de couver les oeufs et de nourrir ses oisillons.

: Son comportement « familier », sa poitrine orangée et son doux chant font du Rougegorge familier l’un des oiseaux « communs » les plus attachants.

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: Nul ne peut rester indifférent au parfum du chèvrefeuille, source d’inspiration de nombreux produits comestiques. Le chèvrefeuille est une plante grimpante que l’on retrouve dans les lisières forestières et dans les haies.

: La Jacinthe des bois forme des tapis violacés en milieu forestier.

: La jonquille est l’une des fleurs préférées des habitants de l’Avesnois, une bière a même été créée à son effigie! Malheureusement celle-ci est parfois victime de son succès, la cueillette excessive et l’arrachage des bulbes.

: Grande fleur blanche facilement reconnaissable. On la retrouve dans les prairies et les bas-côtés des chemins.

: La jonquille est l’une des fleurs préférées des habitants de l’Avesnois, une bière a même été créée à son effigie! Malheureusement celle-ci est parfois victime de son succès, la cueillette excessive et l’arrachage des bulbes.

: Au début des années 50, le Nord était le premier département français producteur de pommes à couteau. Aujourd’hui, environ 80% de ces vergers ont disparu. L’Avesnois a été moins sévèrement touché par cette régression de ce patrimoine arboré et possède encore un patrimoine fruitier exceptionnel d’une rare diversité. La culture fruitière traditionnelle de vergers hautes-tiges (dite de « plein vent »), permettant le pâturage des vergers, marque encore aujourd’hui le paysage de l’Avesnois.

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: La variabilité de ses motifs et le contraste de ses couleurs en font un animal superbe! La Salamandre tâchetée est en régression dans de nombreuses régions de France. Les écrasements routiers en seraient en grande partie responsables.

: Lorsque l’hiver laisse progressivement place au printemps, il n’est pas rare d’observer et d’entendre de nombreux individus de Crapaud commun se rassemblant autour de points d’eau pour la période de reproduction.

: Crapaud commun – Photo : MatthieDans les fossés, dans les mares, dans les étangs… on la trouve partout! Bien souvent, elle saute dans l’eau pour se mettre à l’abri bien avant qu’on l’ait repérée.

: Un ventre orangé, des flancs ponctués, un dos bleuté chez le mâle et des marbrures vertes chez la femelle, le Triton alpestre peut compter sur sa beauté pour vous charmer.

: Malgré son apparence, ce n’est pas un serpent. Ce lézard sans patte affectionne les milieux frais et humides, mais il fréquente de nombreux milieux.

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: Les demoiselles sont les petites libellules bleues au vol léger. Au repos, elles laissent leurs ailes fermées. L’Agrion jouvencelle est l’une des demoiselles les plus communes de l’Avesnois, on la retrouve dans une grande diversité d’habitats, le plus souvent à proximité de la végétation aquatique.

: La reproduction sexuée des plantes nécessite le transport du pollen. Et pour cela, les insectes et notamment les abeilles sont des auxilliaires indispensables. La prochaine fois que vous croquerez une bonne pomme de notre bocage, ayez une petite pensée pour l’abeille sans qui vous ne pourriez profiter de cette saveur.

: Petite, ronde, rouge intense avec ses taches noires, la coccinelle à sept points bénéficie d’un capital sympathie immense auprès du public !

: Que leurs antennes soient courtes ou longues, criquets et sauterelles sautent partout dès que le soleil vient réchauffer les prairies, les pelouses et les bords de chemin. Ils ont tous des grandes pattes mais pas tous la même tête.

: Elles vous font peur ou vous fascinent, les araignées ne vous laissent pas indifférents. Ne dîtes pas à un entomologiste que l’araignée est un insecte, contrairement à ce dernier, l’araignée possède 4 paires de pattes locomotrices. L’araignée diadème est une espèce installant sa toile sur les buissons. On la reconnait au motif blanc de son abdomen formant une croix.

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: Sa jolie silhouette, sa posture reconnaissable entre toutes, sa curiosité, ses couleurs chatoyantes et sa petite tête sympathique font de l’écureuil l’animal sympathique par excellence !

: Espèce que l’on peut retrouver sur tout le territoire du Parc naturel régional de l’Avesnois. Il apprécie les milieux bocagers, il utilise les prairies pour se nourrir et les haies pour ériger ses terriers dénommés garennes.

: Il affectionne particulièrement le bocage qui lui sert de garde-manger avec de nombreuses proies (limaces, vers de terre, insectes…) et de refuge quand les arbres creux et les ourlets herbeux au pied des haies sont présents.

: Omniprésent dans nos forêts, le sanglier également dénommé bête noire est un animal très discret, malgré sa taille imposante (son poids peut aller jusqu’à 200 kg). On l’observe parfois le soir sur les bas-côtés forestiers. Il est plus aisé d’identifier sa présence à l’aide des nombreux indices qu’il laisse derrière lui. Frottoir, bauge, bouti ou coulée sont les noms donnés à ces différents indices.

: Le chevreuil, au corps gracile, nous étonne toujours par les bonds qu’il fait lorsqu’il s’enfuit à notre approche.